C’est la grande fatigue des ruines

LE CORYPHEE :
C’est la grande fatigue des ruines.
Voici que le ciel s’éclaircit.
La poussière comme neige assèche le sang.
La pierre brûle. Nos larmes s’accrochent à nos cernes et tombent en cristaux de sel.
Voici que je te vois.

CLYTEMNESTRE :
Je te dévisage.
La poussière a recouvert nos corps, nous sommes des ombres grises. Je ne te reconnais pas.